je te laisse les hommes en mystère
et leur infaillible redondance
cette récurrence :
la pierre de l'espoir
jetée dans la mer des désespérances
Sinon
faut-il encore que je persévère ?
Mais je sais qu'il existe, pour tous les nageurs
une douce grève, terre délétère
terme salvateur de toutes les errances
où se dissout enfin le roc des ardeurs.
Tous les textes sont de Renaud Chavanne qui en conserve les droits. Merci de ne pas reproduire sans son autorisation.